• Le consortium animé par Cédric Raoul, à l’Institut des neurosciences de Montpellier, envisage une approche originale pour tenter de stopper l’évolution de la sclérose latérale amyotrophique (SLA), une maladie rare et fatale quelques années après son diagnostic.

  • Il a été observé que les patients présentent des lymphocytes T régulateurs (des globules blancs chargés de mettre fin aux réponses immunitaires) nettement moins nombreux et aux propriétés fortement diminuées.

  • L’hypothèse est celle d’une altération du métabolisme de ces cellules.

Le consortium animé par Cédric Raoul, mène ses recherches à l’Institut des neurosciences de Montpellier.

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Quand ils l’auront confirmée, les chercheurs se proposent de reprogrammer le métabolisme de ces lymphocytes T régulateurs pour réhabiliter leurs propriétés protectrices.

Ils les injecteront ensuite à des souris modèles mimant la maladie pour tenter de ralentir son évolution.

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