Les patients atteints de la maladie de Crohn possèdent une flore intestinale déséquilibrée, ce qui favoriserait l’inflammation observée au niveau de leur paroi digestive.
Ces patients présentent aussi une diminution d’un des mécanismes de défense des cellules de l’intestin contre les bactéries pathogènes, ce qui participerait également à l’inflammation.
C’est pourquoi l’équipe de Germain Trugnan et Philippe Seksik cherche un lien entre le déséquilibre de la flore intestinale et le déficit observé dans le mécanisme de protection des cellules.