Lors de la sclérose en plaques, le système immunitaire s’attaque à la myéline, une gaine située autour des prolongements des neurones, conduisant à terme à une neurodégénérescence. Les chercheurs ont montré qu’une plus faible remyélinisation dans des régions du cerveau dites périventriculaires est associée à une plus grande perte neuronale dans la substance grise.
Zoom sur le projet de Bruno Stankoff
Mieux caractériser des mécanismes cérébraux associés à une plus faible réparation de la myéline par l’organisme