La maladie de Parkinson se manifeste notamment par l’agrégation de formes anormales d’une protéine, l’a-synucléine, au sein des neurones.
Benjamin Dehay et son équipe à l’institut des Maladies Neurodégénératives CNRS UMR 5293 à Bordeaux ont réussi à déclencher la maladie chez des modèles animaux sains par une injection intracérébrale de ces protéines.
Cette étude est la première à démontrer que l’a-synucléine suffit à initier la maladie : une avancée notable dans la compréhension de l’origine de la pathologie.