Connaître les gènes en cause dans le développement des formes héréditaires de la maladie de Parkinson (environ 5 % des cas) pourrait permettre de cerner les mécanismes de la maladie.
À ce jour, seuls douze gènes mutés ont été identifiés et la majorité des formes génétiques restent inexpliquées.
L’objectif du projet mené par Suzanne Lesage, à l’Institut du cerveau, à Paris, est donc d’identifier d’autres gènes mutés en cause, notamment dans des formes précoces (avant 50 ans).