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Des différences entre les hommes et les femmes ont été identifiées dans les troubles de consommations d’alcool, et le cycle hormonal est suggéré comme un facteur important de ces variations.
Les chercheurs pensent que l’action d’une hormone féminine, la progestérone, sur des régions cérébrales spécifiques pourrait expliquer cette différence vis-à-vis de cette addiction.
Ils souhaitent aujourd’hui explorer l’action de la progestérone en vue de mettre en lumière son potentiel thérapeutique.