La fibrillation auriculaire est le trouble du rythme cardiaque le plus fréquent et dont les conséquences peuvent être très préjudiciables pour les patients.
Les chercheurs s’intéressent aux phénomènes physiopathologiques à l’origine de cette maladie.
Ils pensent que les contraintes mécaniques exercées par le sang sur les parois du cœur pourraient favoriser le développement de la pathologie, et souhaitent comprendre comment.