Lors d’un infarctus du myocarde, une artère irriguant le cœur est obstruée par un caillot, ce qui provoque la destruction des cellules cardiaques.
Le rétablissement brutal de la circulation sanguine dans les zones atteintes induit paradoxalement un processus qui majore les lésions tissulaires.
Michel Ovize et son équipe étudient une protéine, la cyclophiline D, qui serait à l’origine de ce phénomène afin de pouvoir développer un traitement permettant d’inhiber son action.