L’athérosclérose, du fait de sa fréquence dans la population générale et de ses retentissements sur la santé, constitue un réel problème de santé publique.
Des chercheurs parisiens ont découvert une molécule en cause dans la pathologie ; en bloquant son action chez l’animal, ils ont réussi à limiter l’évolution de la maladie.
Des premiers résultats encourageants qui, s’ils se confirment, ouvriront de nouvelles perspectives de prise en charge de la pathologie.