Pour cela, les scientifiques vont combiner leur approche avec la bio-impression en 3D, qui permet la fabrication d’un tissu biologique avec un agencement spatial précis des cellules qui le composent. Ils testeront ensuite sa transplantation dans un modèle de rat dénué de système immunitaire, de manière à éviter le phénomène de rejet du greffon et à étudier son fonctionnement. Dans un second temps, la transplantation sera effectuée dans un modèle de rat dont le système immunitaire a été « humanisé » (le rat produit des cellules immunitaires humaines) de manière à étudier la réponse immune à cette greffe.
Avec cet organoïde de nouvelle génération, l’équipe espère ainsi mettre au point une alternative viable pour la transplantation intestinale native.