Le développement d’une maladie mentale résulte d’une association entre une vulnérabilité individuelle et des facteurs de risque environnementaux.
Les problèmes de sommeil ont ainsi été associés à l’apparition de troubles mentaux à l’adolescence, sans que les mécanismes cérébraux en jeu aient été déterminés.
Des chercheurs ont obtenu des résultats intéressants dans ce cadre : ils ont notamment montré que des changements des horaires de sommeil chez les adolescents sont associés à une diminution du volume de substance grise dans des régions cérébrales impliquées dans la régulation de l’humeur.