Les thérapies ciblées dites « anti-EGFR » utilisées dans le cancer du poumon sont aujourd’hui restreintes aux cancers dits « non à petites cellules » et aux patients dont la tumeur est porteuse d’une mutation génétique particulière.
Ce traitement est cependant efficace chez certains patients dont la tumeur ne possède pas cette mutation et qui ont bénéficié d’un premier traitement par chimiothérapie.
Judith Raimbourg souhaite comprendre les mécanismes en jeu afin d’élargir les indications de ce traitement à davantage de malades.