Dans les pays industrialisés, la majorité des cécités chez l’adulte sont dues au dysfonctionnement progressif des photorécepteurs, les cellules de la rétine sensibles à la lumière.
De nombreuses mutations génétiques responsables de cette dégénérescence ont été identifiées, mais leur retentissement reste pour le moment méconnu.
Michael Housset et son équipe d’accueil, grâce au financement accordé par le Fondation pour la Recherche Médicale, ont mis en évidence l’action d’un gène, Otx2, dont les mutations sont associées à la rétinite pigmentaire, une pathologie grave de la rétine.