La greffe d’organes, seule option thérapeutique dans certaines maladies, sauve de nombreuses vies chaque année en France.
La principale limite de cette thérapie réside dans le rejet de greffe, une réaction immunitaire anormale qui vise le greffon et le détruit.
Des chercheurs ont élucidé un phénomène jusqu’ici méconnu impliqué dans le rejet de greffe.