La mélatonine ou hormone du sommeil est responsable de l’instauration d’un cycle veille-sommeil.
Des études ont démontré qu’un dérèglement de ce cycle augmentait le risque d’être atteint d’un diabète de type 2.
Ralf Jokers et son équipe, au sein d’un consortium international pluridisciplinaire, souhaitent décrypter les facteurs génétiques impliqués dans les modifications du cycle et leurs effets sur le développement du diabète.