Mis à jour le 29 septembre 2022

Cancer du sein : les invadopodes

Le cancer du sein dit « triple négatif » est agressif, notamment à cause de sa capacité à disséminer dans l’organisme, et il est difficile à prendre en charge. Comment les cellules cancéreuses se propagent-elles et pourquoi certaines survivent même en cas de carence en nutriments  ?

Cécile Gamblin, au cours de sa thèse, essaye de répondre à cette question. Elle s’intéresse à des petites structures appelées invadopodes, des sortes d’excroissances générées par les cellules qui leur servent de ciseaux, de bras ou de jambes suivant leur environnement. Un projet qui pourrait permettre d’identifier de nouvelles pistes thérapeutiques.

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Cécile Gamblin est biologiste et doctorante dans l’équipe de Philippe Chavrier, à l’Institut Curie à Paris.

Philippe Chavrier est directeur de recherche au CNRS et responsable de l’équipe « Dynamique de la membrane et du cytosquelette » à l’Institut Curie, à Paris.

109 800 €

Financement accordé en 2021 au projet de Cécile Gamblin pour mener une thèse de sciences dans l’équipe de Philippe Chavrier.

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