Le cancer du sein dit « triple négatif » est agressif, notamment à cause de sa capacité à disséminer dans l’organisme, et il est difficile à prendre en charge. Comment les cellules cancéreuses se propagent-elles et pourquoi certaines survivent même en cas de carence en nutriments ?
Cécile Gamblin, au cours de sa thèse, essaye de répondre à cette question. Elle s’intéresse à des petites structures appelées invadopodes, des sortes d’excroissances générées par les cellules qui leur servent de ciseaux, de bras ou de jambes suivant leur environnement. Un projet qui pourrait permettre d’identifier de nouvelles pistes thérapeutiques.