Grâce à des méthodes capables de détecter précisément les résidus de SDHI, l’équipe évaluera leur taux dans l’eau et l’alimentation, leur présence dans les urines chez des agriculteurs et dans la population générale.
Le lien avec la survenue de pathologies sera établi et, le cas échéant, les mécanismes en cause étudiés. Ce projet sera clôturé par un symposium public sur les enjeux de l’usage des SDHI ; de quoi infléchir les politiques de prévention en santé.