C’est particulièrement vrai chez les personnes souffrant de troubles de l’anxiété. Pour mieux comprendre les régions cérébrales impliquées dans cette réaction d’évitement, l’équipe de Cyril Herry au Neurocentre Magendie (Bordeaux) a observé chez les souris les mécanismes neuronaux qui en sont à l’origine. Les chercheurs ont constaté qu’un événement est associé à un danger au niveau du cortex préfrontal.