En collaboration avec des équipes de recherche de Nantes et de Suisse, une équipe du Laboratoire de physiomédecine moléculaire (Nice) a étudié le rôle joué par les adipocytes (cellules graisseuses) de la moelle osseuse ans ce phénomène. Elle a pour cela créé des souris dépourvues d’adipocytes. Elle a découvert que, chez celles-ci, les ostéoclastes sont suractifs. Puis, grâce à une substance synthétique qui mime l’action des adipocytes osseux, l’AdipoRon, les chercheurs sont parvenus à rétablir cette inhibition de l’érosion osseuse.