À l’Institut de biologie Paris-Seine, Stéphanie Daumas et ses collègues s’intéressent aux mécanismes sous-jacents, en travaillant sur des modèles animaux, avec l’objectif de développer des traitements médicamenteux spécifiques. Lors de précédents travaux, les chercheurs ont mis en évidence qu’une anomalie de l’expression de la protéine VGLUT3 dans le système nerveux central est associée à des troubles anxieux ou addictifs. Dans une nouvelle étude, ils montrent que lorsque l’on soumet des souris dépourvues de VGLUT3 à un stress, elles développent une peur généralisée. Elles étaient ensuite tétanisées face à tout nouvel environnement. Un phénomène qu’ils ont réussi à inverser par des approches de type thérapies cognitives et comportementales
Une étude franco-américaine a été menée sur la variabilité des génomes, et plus particulièrement des séquences génomiques impliquées dans le fonctionnement du système immunitaire, pour retracer son évolution.