Des chercheurs ont étudié les propriétés du transporteur, les nanoparticules sans le médicament.
Ils ont confirmé, chez la souris, qu’elles sont bien absorbées par les cellules infectées dans les poumons.
Par ailleurs, elles possèdent une propriété antituberculeuse intrinsèque, avant même de contenir un médicament ! En effet, en fragilisant de manière spécifique la membrane des principales cellules infectées par la bactérie, les nanoparticules empêchent le pathogène d’y pénétrer, poussant même ces cellules à s’autodétruire, ce qui réduit par la même occasion les conditions d’installation durable de l’agent infectieux