Pour les chercheurs, cette altération de la distribution de l’APP dans le cerveau serait une caractéristique clé de la maladie d’Alzheimer jamais décrite auparavant. La protéine pourrait ainsi constituer une nouvelle cible thérapeutique. En effet, toutes les approches ciblant uniquement les plaques amyloïdes n’ont pour l’instant pas permis de stopper ni même retarder la progression de la maladie.
Pour les personnes souffrant d’insuffisance rénale terminale, la greffe de rein est le meilleur des traitements. Or le rejet et la perte du greffon rénal sont une menace importante qu’il faut pouvoir anticiper.