De récents travaux sur des modèles animaux ont permis aux chercheurs de mieux comprendre comment les poumons réagissent à cette ventilation liquide afin d’en optimiser la tolérance et les bénéfices.
L’une des
clés est de remplir les poumons sous leur capacité résiduelle
fonctionnelle, c’est-à-dire en dessous du volume minimal restant dans
les poumons après une expiration spontanée.
De cette façon, les risques
de traumatisme sont minimaux lorsque la respiration naturelle reprend.
Reste à tester cette technique chez l’être humain.