Ils ont ainsi identifié plusieurs mutations génétiques dont la fréquence a rapidement augmenté il y a environ 4 500 ans, signe qu’elles conféreraient un avantage immunitaire contre les pathogènes. Une évolution sans doute liée à des épidémies sévères comme la peste. Mais en parallèle, les chercheurs ont aussi observé une augmentation de la fréquence de mutations génétiques associées à une plus grande sensibilité à certaines maladies inflammatoires ou auto-immunes !
Des chercheurs viennent de montrer que le diagnostic de la tuberculose pourrait reposer sur la simple analyse de l’air expiré par les malades.