C’est à cette problématique que Maxens Decavèle cherche à répondre au cours de sa thèse, ce afin d’améliorer le confort respiratoire chez ces patients.
Nous respirons tous sans même en avoir conscience, sans rien commander. Mais chez certaines personnes, respirer peut parfois être synonyme de souffrance intolérable, entraîner une sensation d’étouffement, une anxiété, et entraîner des séquelles psychologiques.
L’évaluation de la dyspnée se fait par un questionnaire mais chez les patients sous respirateur artificiel, donc non communicants, les interroger sur leur confort respiratoire est impossible. D’où le projet de Maxens Decavèle qui consiste à développer une intelligence artificielle pour évaluer en continu les souffrances respiratoires chez ces patients : cela permettra de rapidement les prendre en charge et de leur apporter un maximum de confort.
Reportage réalisé dans l’équipe du Pr Thomas Similowski à Paris, et retranscription en images !