Cette mutation protégerait en quelque sorte contre le risque d’addiction. Environ 37 % des Européens et jusqu’à 43 % de la population au Moyen-Orient seraient porteurs de cette mutation 5SNP. À l’inverse, une autre mutation est associée à une rechute plus rapide après sevrage. Ces travaux permettent d’envisager de nouvelles pistes de traitements contre la dépendance à la cocaïne. Rappelons qu’aujourd’hui elle est considérée comme une maladie chronique à fort taux de rechute et qu’il n’existe aucun traitement efficace.
Source : Progress in Neurobiology, août 2020