Sur des modèles animaux, ils viennent de découvrir que l’exposition à une chimiothérapie utilisant le busulfan active des récepteurs TGR5, ce qui participe à induire la mort d’une partie des cellules germinales à l’origine des spermatozoïdes. Par ailleurs, l’équipe a constaté que même si elle parvient à bloquer ce phénomène chez des souris exposées à une chimiothérapie, la qualité des spermatozoïdes semble affectée.
Reste à comprendre pourquoi, pour réussir à préserver la fertilité masculine.