En collaboration avec une équipe américaine, des chercheurs français de Lille ont identifié un traitement qui permettrait de réduire ces effets indésirables. Il s’agit d’un médicament autorisé aux États-Unis et au Japon dans la prise en charge de la maladie de Parkinson : l’istradefylline. Testé chez l’animal et sur des modèles cellulaires exposés à la chimiothérapie, l’istradefylline a permis de réduire les douleurs neuropathiques et les atteintes rénales, et même d’augmenter l’effet antitumoral du cisplatine ! Reste maintenant à confirmer ces observations chez l’Homme.