L’équipe des Pr Rochigneux et Olive du Centre de recherche en cancérologie de Marseille vient de montrer qu’il est possible de prédire chez quels patients une immunothérapie sera la plus efficace grâce à une simple prise de sang. D’après leurs travaux, le score basé sur la fréquence des trois populations de cellules immunitaires dans le sang – les monocytes, les cellules NK et les lymphocytes T CD4+ ICOS+ – est associé au taux de réponse à l’immunothérapie, à la survie sans progression du cancer ainsi qu’à la survie globale des patients.
Cette mesure, si elle est confirmée sur l’étude en cours à Marseille, pourrait être facilement mise en œuvre dans le suivi thérapeutique des malades.