Mais une prise en charge alternative est à l’étude : elle combine chimiothérapie, radiothérapie et chirurgie minimale où seule la tumeur est enlevée. C’est dans ce contexte que deux équipes de l’Institut Curie proposent une approche complémentaire pour améliorer ce traitement alternatif. Les chercheurs ont en effet montré que le niveau d’expression du récepteur TYRO3 par les cellules cancéreuses de la vessie est un marqueur de leur sensibilité à la radiothérapie.
En développant un médicament qui ciblerait précisément ce récepteur, on pourrait donc augmenter l’efficacité des rayons.
Source : International Journal of Molecular Sciences, 4 août 2022.