Au laboratoire de science vasculaire translationnelle (Inserm, Paris), l’équipe de Giuseppina Caligiuri a mis au point un nouveau type de revêtement qui ne conserve que les avantages de chaque solution : leur dispositif est recouvert d’une couche de petites molécules biomimétiques qui stimulent l’intégration du dispositif dans la paroi artérielle tout en ayant des propriétés antiresténose.
Testé sur des modèles animaux, ce biomatériau a donné des résultats préliminaires très prometteurs.