5 897 greffes ont été réalisées en France en 2019, tous organes confondus.
Dans plus de 60 % des cas, il s’agit de greffes rénales.
Le rejet chronique du greffon est la principale cause d’échec des transplantations.
Source : Agence de la biomédecine
Un mécanisme expliquant les rejets de greffe d’organe vient d’être mis au jour par des chercheurs du Centre international de recherche en infectiologie de Lyon et de l’hôpital Édouard-Herriot (HCL, Lyon).
Contrairement à ce que l’on pensait jusqu’à présent, les anticorps ne sont pas les seuls acteurs à enclencher une microinflammation à l’origine de la perte du greffon. Dans la moitié des cas de greffes rénales étudiés, les cellules immunitaires NK (pour « natural killer ») seraient à l’origine du rejet du greffon.
C’est le cas sur cette image microscopique : on y voit les cellules NK (en marron) agressant les cellules d’un greffon (en bleu).
5 897 greffes ont été réalisées en France en 2019, tous organes confondus.
Dans plus de 60 % des cas, il s’agit de greffes rénales.
Le rejet chronique du greffon est la principale cause d’échec des transplantations.
Source : Agence de la biomédecine
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