La Fondation Marie-Noëlle a été créé le 20 juin 2014, à l’initiative de Monsieur et Madame René Heller.

Grâce à cette fondation, René et Armelle Heller ont souhaité rendre hommage à leur fille, Marie-Noëlle qui souffre de trisomie 21.

Ils ont choisi de faire don d’un immeuble situé place d’Aligre dans le 12ème arrondissement à Paris. Ce don conséquent permettra à la Fondation Marie-Noëlle de soutenir, chaque année, des travaux de recherche sur la trisomie 21 et sur les retards mentaux d’origine génétique.

Photo : Marie-Noëlle Heller au pied de la statue de Marie Noël, poétesse auxerroise.

2021 : la Fondation Marie-Noëlle a apporté à nouveau son soutien au projet de recherche mené par Katja Wassmann au Laboratoire de biologie du Développement à Paris. La chercheuse et son équipe ont pour objectif d’élucider les mécanismes moléculaires qui régissent la fabrication des cellules reproductrices féminines, plus particulièrement les mécanismes qui régulent le nombre de chromosomes présents dans chacune de ces cellules. Des anomalies de nombre de chromosomes dans les cellules reproductrices féminines sont à l'origine de syndromes tels que la trisomie 21. Elucider ces phénomènes devrait permettre de répondre aux questions liées à la fertilité humaine et contribuer à l'amélioration de certaines techniques de fécondation in vitro.

2020 : la Fondation Marie-Noëlle a apporté son soutien à deux projets de recherche.

  • Le projet d'Alexandra Pyatnitskaya qui travaille à l'Institut Curie à Paris. La chercheuse s'intéresse aux mécanismes impliqués dans l'apparition d'un nombre anormal de chromosomes lors de la formation des gamètes. Ces dysfonctionnements peuvent mener à la stérilité ou à des maladies génétiques telles que la trisomie 21 ;
  • Le projet de Boglarka Zambo à l'Institut de Génétique et de Biologie Moléculaire et Cellulaire à Illkirsch. Le chercheur travaille sur une approche de thérapie génique dans le syndrome de l'X fragile.

La Fondation Marie-Noëlle a également contribué à soutenir la recherche sur la Covid-19 au printemps 2020.

2019 : la Fondation Marie-Noëlle a choisi de soutenir le projet de Félicie Kieffer qui travaille à l'Institut de Pharmacologie moléculaire et cellulaire de Valbonne. La chercheuse a pour but de mieux comprendre les mécanismes moléculaires en cause dans le syndrome de l'X fragile et des troubles du spectre de l'autisme.

2018 : la Fondation Marie-Noëlle a soutenu deux projets de recherche.

  • Les travaux de recherche d’Anouchka Laurent, à l’Institut Gustave Roussy à Villejuif, sur le développement de leucémies fréquentes chez les enfants avec une trisomie 21 ;
  • Le projet de Laurine Gonzalez, sur les origines de la déficience intellectuelle liée au syndrome de Coffin-Lowry à l’Institut des neurosciences Paris-Saclay.

2017 : la Fondation a soutenu le projet de recherche de Leonor Keating, à l’Université Paris 6. Ce projet vise à comprendre les mécanismes moléculaires impliqués dans la mauvaise formation des ovocytes, phénomène à l’origine de malformations congénitales telles que la trisomie 21.

2016 : la Fondation Marie-Noëlle soutient le projet de Katja Wassman, mené à l’Institut de Biologie Paris-Seine, sur les mécanismes à l’origine des trisomies.

2015 : la Fondation Marie-Noëlle a soutenu le projet de recherche de Michèle Studer à l’Institut de Biologie de Valrose à Nice.

2014 : la Fondation a soutenu l’équipe de Barbara Bardoni, qui étudie la physiopathologie du retard mental à l’Institut de pharmacologie moléculaire et cellulaire, à Valbonne.

Fondation Marie-Noëlle

Fondation domiciliée au siège social de la Fondation pour la Recherche Médicale :

54, rue de Varenne - 75335 Paris Cedex 07

Les fondations abritées par la FRM

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