La maladie d’Alzheimer est une pathologie neurodégénérative sévère que les thérapies actuelles ne parviennent pas à enrayer.
La destruction des neurones s’accompagne d’une inflammation qui majore les lésions cérébrales et entretient un véritable cercle vicieux.
- Des chercheurs français ont montré l’intérêt d’une immunothérapie à base d’interleukine 2 chez l’animal pour contrer cette réaction inflammatoire cérébrale délétère.