Les patients greffés doivent prendre à vie des traitements visant à atténuer la réaction immunitaire pour éviter un rejet du greffon.
Malheureusement, cette thérapie immunosuppressive favorise aussi le développement de certaines infections aux conséquences parfois sévères, dont celles liées au Cytomégalovirus.
Les chercheurs s’intéressent à des cellules immunitaires particulières pour développer de nouvelles thérapies antivirales plus efficaces et moins toxiques.