Lors de la transplantation, le greffon ne reçoit plus de sang, et donc d’oxygène : c’est l’ischémie, un phénomène qui engendre des dysfonctionnements de l’organe greffé.
Les chercheurs s’intéressent à une protéine, eIF5A, dont l'inhibition améliore les altérations tissulaires dues à l'ischémie.
Ils ont montré que le blocage pharmacologique d’eIF5A était efficace pour limiter les effets de l’ischémie au sein d’un modèle animal de transplantation rénale.